Il est possible de travailler à l’aveugle. La personne n’a pas conscience de ce sur quoi elle va travailler. Le praticien non plus, au moins au début. Mais l’inconscient de la personne le sait, et les résultats, les progrès peuvent être étonnants.
Autre cas de figure, la personne est incapable de formuler son objectif au praticien – c’est trop difficile (traumatisme, honte,…). Dans ce cas-là aussi, le travail peut se faire au début ou durablement à l’aveugle pour le praticien.
De façon générale, le patient ne révèle au praticien que ce qu’il souhaite, que ce qui lui semble utile ou possible de révéler.
Evidemment, dire les choses rend souvent l’atteinte de l’objectif plus rapide.
Des séances d'Access Bars peuvent également être très conseillées dans ce cas.