Gestion des douleurs chroniques par l'hypnose antalgique

Réduire la douleur par l'hypnoseLes techniques d’hypnose antalgique peuvent être d’une grande aide pour réduire l’intensité des douleurs chroniques et pour gérer les pics douloureux.

Quand on connait, quand on vit ces souffrances au quotidien, que l’on sait les conséquences qu’elles peuvent avoir sur l’existence (problèmes de sommeil, diminution de la joie de vivre, de la motivation, repli sur soi, problèmes professionnels,…), agir pour les diminuer est essentiel, est vital. C’est possible. L’hypnose peut vous aider à y parvenir.

 

Oui, mais… est-ce réellement possible ?

Oui. Avez-vous déjà entendu parler des opérations chirurgicales sous hypnose ? De nombreuses opérations chirurgicales se font dorénavant sous hypnose dans des hôpitaux en France et dans d’autres pays. Ceci permet de réduire massivement les produits anesthésiants lors de l’opération. Les personnes opérées sous hypnose se sentent-elles capables avant l’opération de ne pas ressentir une douleur aussi intense que celles dues à une opération ? Non. Y parviennent-elles sous hypnose ? Absolument !

Cet exemple montre simplement que nous avons des ressources internes pour gérer la douleur, la diminuer - des ressources internes bien plus efficaces que ce que nous imaginons.

Notamment, notre organisme produit des hormones, qui pour les unes réduisent la douleur, pour d’autres créent un bien-être physique, moral, etc.

Réduire le stress, travailler sur la mémoire des douleurs passées et donc sur l’anticipation de la douleur sont aussi des éléments essentiels.

Les techniques d’hypnose antalgiques aident fortement à mobiliser ces ressources internes, à les développer et à réduire les effets amplificateurs du stress et de l’anticipation.

De plus en plus de recherches scientifiques étudient ces questions. Et même si elles sont loin d’avoir apportées toutes les réponses à la question : pourquoi est-ce que cela marche ? ; les personnes qui souffrent de douleurs chroniques ont intérêt à utiliser les techniques d’hypnose antalgique dès maintenant.

 

De quelles douleurs parle-t-on ?

Des douleurs chroniques, qui restent malgré un suivi médical adapté.

Il peut s’agir de douleurs liées à une maladie, à un traitement, aux suites d’une opération chirurgicale ou d’un accident. Il peut s’agir d’un mal de dos, de maux de tête, d’une fibromyalgie, de douleurs fantômes, etc.

Il ne s’agit pas de douleurs soudaines et/ou aigues. Pour ces dernières, il faut consulter votre médecin ou vous rendre aux urgences.

 

Y-a-il des contre-indications ?

Non. Il s’agit d’utiliser, de mobiliser, de développer des ressources internes que chaque personne possède déjà. Celles-ci n’ont aucun effet secondaire indésirable.

 

Est-ce simple, accessible à tout le monde ?

Oui, ces méthodes d’hypnose antalgique sont simples à apprendre et à pratiquer chez vous.

 

Est-ce que cela prend beaucoup de temps par jour ?

Il faut compter entre 15 et 30 minutes par jour. Plus si vous le souhaitez.

 

Serai-je autonome ?

Oui. C’est un élément indispensable. Vous devez devenir autonome dans l’utilisation de ces techniques, pour qu’elles puissent vous apporter au quotidien un soulagement important. Pour cela, vous apprendrez en même temps des techniques simples et adaptées d’autohypnose.

 

Existe-t-il des points importants pour que cela fonctionne bien ?

Oui, il faut faire les exercices que vous aurez appris très régulièrement. Sans cela, vous n’aurez pas ou peu de résultats.

 

Combien de séances au Cabinet MILTON Hypnose sont nécessaires ?

Pour apprendre les techniques d’hypnose antalgiques qui sont adaptées à votre situation, ainsi que des techniques d’autohypnose, il faut généralement compter entre 2 et 5 séances.

 

Vous avez des questions ou vous souhaitez prendre rendez-vous, allez à la page Contact (n° de téléphone et/ou envoi d’un email).

 

Un point important : cet apprentissage de techniques d’hypnose antalgique doit s’envisager comme un complément aux traitements médicaux qui vous ont été prescrits par votre médecin ou vos médecins. Il ne s’y substitue en aucun cas.

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